Voici le discours que j’ai prononcé le 3 juillet 1995, comme doyen d’âge, dans la grande salle des fêtes de la Mairie du 20e, devant beaucoup de monde, lorsque, pour la première fois, Paris n’a pas donné tous ses arrondissements à la droite et que 6 arrondissements sont passés à gauche. Prélude à la victoire de Delanoé allié aux Verts en 2001. Je l’envoie avant l’intronisation de Frédérique Calandra ce samedi 30 mars 2008 comme maire de l’arrondissement car bien des choses restent d’actualité, parce qu’il montre le chemin parcouru et les difficultés qui subsistent pour nos éluEs. Mais aussi pour rappeler un peu ce que fut la gestion Bariani-Tibéri !

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Que, pour chacune-chacun de vous,

l’an 2014 porte

le meilleur du possible !

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Rêvons au meilleur du possible

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Pour le meilleur du possible

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Pour le meilleur du possible

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Je pars d'un texte de celui qui fut interne avec moi au lycée HenrI IV, en mathématiques spéciales, de 1949 à 1952: Guy Béart: Le « Grand Chambardement » de Guy Béart,

Le rêve de Copenhague escamoté, Et demain… L’arc-en-ciel de nos espérances et de nos volontés

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• L’arc-en-ciel de l’espérance
• Derrière les nuées des orages de nos réalités !

• Magouilles, carambouilles, fripouilles !
• Paradis fiscaux, parachutes dorés, traders excités !
• « Ca suffat comme ci» !

• Sans toit, sans droits, sans soins, sans papiers, sans argent !
• Exceptions, exclusions, expulsions !
• « Ca suffat comme ci» !

• Ignorance, opulence, arrogance, insolence des dominants !
• Egoïsme, individualisme, capitalisme cynique !
• « Ca suffat comme-ci » !

• Angoisse de la terre, de l’air, de la mer, des espèces
• Angoisse de la planète, angoisse de l’avenir
• « Ca suffat comme ci» !

• La révolte gronde, profonde, féconde
• L’aube d’un autre monde à l’horizon
• Peut-être ?
• Si nous le voulons tous et toutes ensemble !

• Peut-être le bonheur à tous les étages de la maison dont nous rêvons !
• Etage du quotidien, de la cuisine, du pain et du vin.
• Etage de l’échange, du partage, du voyage.
• Etage de la fête et du rêve, des solidarités.
• Etage de la joie, du chant, de l’art.
• Etage de la philosophie, de l’éthique, du politique, de l’utopie.
• Etage du grenier, des vieux jouets, du souvenir

• Joyeuses fêtes de fin d’année et bonne année à toi, à vous, à tous et toutes,
• ici et là-bas ; à la paix, à la planète
• Des souhaits particuliers aux exclus, aux pauvres, aux dominés, aux méprisés de tous les pays

• Planète bleue, angoisses noires et rêves verts,
• Colères rouges, victoires ensoleillées, solidarités arc-en-ciel,
• Page blanche de l’avenir de nos petits enfants ?
• Angoisse du climat, des terres et des espèces !
• Insouciances, inconsciences, exclusions, expulsions !
• Ici et là-bas
• Attentes, silences ?
• ou
• Volonté, solidarités ?

• Toi, moi, nous, l’autre là-bas !
• Nous ne sommes rien et nous sommes tout !
• Ensemble rêvons l’avenir de notre planète
• Ensemble construisons patiemment

• Vœux à toi, à moi, à nous, à l’autre là-bas,
• Vœux à la planète, à l’avenir !

Que 2007 soit un nouveau soleil sur l'avenir, sur la planète de nos espérances!

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Quête de poésie et de rêves collectifs

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Litanie de couleurs, de voeux, de "joies"

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Voeux sous forme de repas

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Mes vœux :Le bouquet que je nous envois à toutes et à tous

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L’an dernier j’avais envoyé par Internet des vœux qui se voulaient un peu poétiques à celles et ceux dont j’avais alors les « courriels. » J’avais reçu plusieurs remerciements ou félicitations ; je me sens donc moralement obligé d’essayer de faire aussi bien, mais ce, n’est pas du tout pour moi une sorte d’obligation et je prends beaucoup de plaisir à faire ce texte!

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Guy Philippon à tous ceux et toutes celles qui ont un courriel

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Ce récit, concernant une histoire personnellement vécue, pourrait donner l’ossature d’un roman à un Mauriac laïc. Il plonge ses racines dans les hontes que fait irrémédiablement peser la société dans le domaine de la sexualité. Le récit entremêle la vie de deux familles que j’ai connues de près pendant des décennies. Il concerne essentiellement la famille qu j’appellerai Plumereau, dont j’ai changé les noms et prénoms bien que, certainement tous les protagonistes soient morts aujourd’hui.

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C’était mon premier vrai voyage. Et je passais deux semaines à Florence, la ville dont je rêvais depuis mes deux années d’italien au lycée de Guéret. Je logeais dans une auberge située un peu loin du centre. Ce jour-là, je visitais la galerie des Offices et j’étais un peu en retard pour le repas de midi.

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